Conférence sur la restauration de la maison de Pierre Loti Samedi 14 octobre à 10h30 Comme chaque année, les Journées Nationales de l’Architecture sont l’occasion
La Maison Pierre Loti représente un véritable défi technique pour les architectes et les entreprises chargés de sa restauration. De nombreux imprévus surgissent au fil
Atelier La Gypserie – restauration du plafond en stuc du salon turc dans la maison de Pierre Loti – cr Guillaume de Laubier Cette exposition
• Naissance de Julien Viaud, troisième enfant de Théodore et Nadine Viaud (Marie est née en 1831, Gustave en 1836).
• Création du Petit musée à partir des collections de l’oncle Tayaut
• Création avec son amie Jeanne du théâtre de Peau d’Âne
• Julien est reçu à l’École navale et embarque à Brest sur Le Borda
• Embarque sur la Flore pour l’île de Pâques puis séjour de quelques semaines à Tahiti ; Julien y reçoit le surnom de Loti.
• Première publication : dans L’Illustration, gravure d’après des dessins de Julien.
• Stage à l’école de gymnastique de Joinville ; Rencontre avec Sarah Bernhardt.
• Premiers textes publiés dans le Monde Illustré
• Affectation à Salonique, puis Constantinople
• Rencontre de Hatidjé (Aziyadé) à Eyoub, quartier de la ville
• Décoration d’une pièce de la maison dans le style oriental
• Publication d’Aziyadé, sans nom d’auteur
• Campagne de Chine ; séjour au Japon à Nagasaki
• Pêcheur d’Islande
• Mariage avec Blanche Franc de Ferrière
• Naissance de son fils Samuel
• Élection à l’Académie Française face à Zola
• Voyage privé en Terre Sainte : Jérusalem, Damas, Baalbek…
• Début des grands travaux dans la maison, Loti devient décorateur…
• Achat de la maison “Bakhar-Echea” à Hendaye.
• Départ à la retraite de son poste de capitaine de vaisseau.
• Intégration dans l’armée de terre, en tant qu’agent de liaison pendant la 1ère Guerre Mondiale.
• Mort de Pierre Loti à Hendaye et inhumation à Saint-Pierre d’Oléron, dans la maison des Aïeules.
Je vais ouvrir mon coeur, vous faire ma profession de foi : j'ai pour règle de conduite de faire toujours ce qui me plaît, en dépit de toute moralité, de toute convention sociale...
Aziyadé (1879)